LA SALLE DE BAL!

Juliette regarda avec etonnement la salle se vider sous leur yeux. Une jeune file était restée, au fond de la salle, à peine voyante. Juliette retourna son attention sur Bodhi. A plusieurs reprises, elle posa doucement ses levres sur les siennes. Puis la musique s'intensifia et Juliette mis ses mains dans celle de bhodi et se mit à danser au rapidement au rythme ... Elle s'avançait et reculait vers lui, tournait ... Elle avait rarement été aussi heureuse. Elle parla fort pour couvrir la musique :

Si j'avais su, quand j'étais dans mon arbre, seule, que quelques heures apres, je serais là à danser avec toi .....

Elle ria doucement puis posa un baiser sur le coin de la bouche de Bodhisatva.

Bodhisattva dansait langoureuisement avec Juliette, et quand lre rythme de la musique s'intensifiat, c'est tout naturellement que Bodhi accelerat lui aussi la cadence de sa danse, de même que Juliette. Leurs deux êtres s'éloignaient, se rapprochaient à nouveau, puis se réeloignaient, et ainsi de suite, à l'infinit, entrecoupé d'autres pas de danse et virevoltages en tout genre, mais leurs mains toujours unis ... Chaque contacts des lèvres de Juliette sur les siennes était pour lui un fabuleux présent, comptant plus pour lui que nimporte quelle chose sur terre.

- Et moi, si j'avais sut en m'allongeant sous cet arbre quune si jolie fille me "tomberait dessus" comme un cadeau merveilleux tombé du ciel ... "t'attends que ça te tombe tout crus du ciel?" ... ça doit-être une des phrases préférées de ma mère à mon égard ... et bah pour le coup, j'ai bien fait d'attendre, sous cet arbre.

Disant ces mots, il l'ammenat vivement vers lui, et l'embrassat longuement, tout en continuant à tournoyer sur l'air frénétique de la chanson.

Juliette enlaca de toute ses forces Bhodi.

Ohh Bodhii ....

Elle laissa tomber sa tete sur son epaule et continua à danser.
Tout à coup, ses jambes flageolèrent et elle sentit le poid de la fatigue tomber sur ses épaules. Elle lacha Bodhisatva et marcha doucement vers une chaise. Elle était à présent très pâle et artcula doucement à l'intention du garcon.

Je sais pas c'que j'ai ... je ... je me suis sentie fatiguée tout à coup ...

Bodhisattva serrait Juliette dans ces bras quand il la sentit commencer à trembler légèrement, comme prête à s'évanouir. Elle s'éloignat de lui et allat se reposer sur une chaise. Bodhisattva la suivit prestement, et prit une des ses mains dans les siennes, s'agenouillant à ses côtés.

- Qu'est ce qui a ... ça ne vas pas? tu veux que je te remonte aux dortoirs?

Ces mots avaient été murmurés, tout doucement, amoureusement, comme si une seule parole dite trop forte eut put profondement gêner Juliette. Se rapprochant d'elle, il la serrat dans ses bras, et allant poser ses mains derrière le tête de Juliette, il posat lui même sa propre tête sur l'épaule de Juliette. Puis sa main droite descendit dans son dos, pour le caresser d'une main réconfortante.

Au contatc de Bodhi, Juliette se sentit légèrement mieux. Elle reprenait quelques couleurs mais n'avait plus la tete à danser. Elle ferma les yeux quelques instants puis les rouvrit et dit d'une petite voix faible :

Je crois, que je préfèrerais remonter aux dortoirs oui ....

Elle s'appuya sur l'épaule de Bodhisatva et se remis debout. Elle vacilla légèrement puis attrapa la main du garçon.

Tu voulais rester ?

Sacha secoua la tête. Et puis soupira longuement.

*Si seulement quelqu'un venait à m'inviter...*

Mais elle savait fort bien que cela n'arriverait forcement jamais, du moins pas à ce moment-là. Elle caressa ses boucles de cheveux et les tourna entre ses doigts. La préfète de Gryfondor pour la première fois se sentait seule, tériblement seule. Ses amies étaient partie dans une torrent de brouillard et il ne restait qu'elle dans cette salle loin de son monde. Loin d'elle-même. Les slow se succèdèrent sans fin pour elle, acroisant son chagrin, acroissant ses regrets, ainsi que les souvenirs des grands-bals qu'elle avait manqué chez elle.

fred demanda qui veux danser ?

- Non, c'est bon ... je pourais me passer d'une soirée de danse ...

Puis sans prévenir, il basculat Juliette, et la soulevant du sol, la prit dans ses bras, passant un bras sous ses genoux, et l'autre au niveau de ses épaules. Et prenant un air qui se voulait le plus sérieux possible, il dit:

- Ou madame veut-elle que son noble chevalier servant la dépose?

Disant ses mots, il s'était approché de la porte de sortie de la salle sur demande, et en était sortie, laissant Fred et Sacha désormais seuls dans la pièce.

Sacha regarda Fred pendant un moment. Mais ne dis rien. Elle serait certainement la dernière à être invité par ce dernier. Son courage était tenace mais être habillé de cette manière la rendais nerveuse et la mettait totalement hors de ses moyens. Elle sourit timidement puis regarda à gauche et à droite comme une enfant.

*Je.... Impossible! Je ne puis rester seule avec lui, c,est inconvenant....*

Elle s'en mordait les doigts, puis soudainement elle partit en courant en direction de la porte, trop effrayé par ses propres souvenir pour s'en laissé aller.

Juliette, bien qu'étant complètement assoupie, réussi à rire en se voyant portée par Bodhi.Après qu'ils soient sortis de la salle, elle murmura dans son oreille :

Mon price charmant .....

Il était vrai qu'elle se sentait princesse, ainsi portée, et l'entendant lui parler avec cet air sérieux. Elle ria fébrilement ... puis répondit :

Si monsieur veut bien m'amener aux dortoirs ....

Elle lui déposa un doux baiser et ferma lentement ses yeux, restant pourtant bien eveillée.

HjTu réponds aux dortoirs ... comme on est plus dans la salle de bal ....Hj

courant dans les couloirs il finit pa rttraper sacha et lui demanda si il ne veut pas la racompagner au doroir

Sacha s'était arrêter dans un coin à coté d'une grosse culture de marbre. Elle était assise là et lorsqu'elle avait vu Fred, elle n'avait pas oser bouger d'ou elle était. Même sans un bruit, il l'avait vu; c'était autant très réconfortant et à la fois blessant. Un mélange d'oposition. Elle accepta sa requète de se faire ramener à sa maison. Lors de sa course, ses cheveux s'étaient défaits et pendait doucement dans son dos à moitié-bouclé à moitié-lisse. Elle sourit tristement à celui qui l'avait fait fuir. Puis s'excusa poliment et prit sa main lorsqu'il tenta de la remettre sur ses pieds.

- Quel domage, une si belle robe...

Son jupon s'était déchiré lorsqu'elle s'était précipité derière la statue. Elle essuya ses larmes qui lui avait coulé le long des joues.

-... elle n'as même pas pu tourner.

Elle soupira puis prit le bras de Fred qui la racompagnait au dortoir des Gryfondor.

Hj:-_-' En retard....

*Une jeune fille arrivait.Elle vit deux personne passer,et partir vers leur salle commune.La june fille,Laëtitia,restais derrière la porta,n'osant rentrer.Elle passa la tête,et on pouvait voir une élégante coiffure,un chignion a la chinoise,avec certain de ses long cheveux noir pendant sur ses épaules,gracieusement.Elle c'étais légèrement maquiller,les yeux surlignés de noir,et les lèvres couleur rouge sang.Elle portait aussi de jolie boucle d'oreille en forme de boucle en argent.Elle décida enfin a passer la porte.Elle portais un tee-shirt a manche long rouge sang lui aussi,avec une jupe noir,un peu bouffante pas la dentelle grise qui il avait en dessous.Elle semblait rapiécée,mais c'étais un effet d'illudsion.Elle portait des bottes noir,pas facilement visible a la longeur de sa jupe.Elle portais aussi un collier,or cette fois,et au bout,une sort de petit carrée,ou il y avait marqué quelque chose dessus.Elle pendait a une fine chaîne.Elle ne it pas un pas,il y avait du monde...trop.Elle recula,et se cacha,derrière la porte,incapable de faire un pas.Elle s'assit,plia les genoux,passa ses bras autour,et...rien.Elle ferma les yeux,et posa sa tête sur ses genoux,la repirations lente.On na la dérangerais pas ainsi.*

*lily se découragea...elle attendait Ron depuis très longtemps. Mais décidant de ne pas quitter cette pièce avant avoir eu une danse avec quelqu'un, elle attendit. Regardant ces jeunes danser, trouver l'amour en cette soirée lui fit un peu mal...Parce que depuis quelques jours, Ron l'évitait constament. Tellement de fois que Lily devait aller se consoler avec ses amies. Parce qu'il n'y a pas une semaine, Lily avait appris la mort de sa grand-mère par hibou postale, alors essayant de trouver Ron pour la consoler de cette perte inattendue, Lily perdi confiance en elle....Lily alla voir la jeune fille seule dans son coin.Laëtitia.*

-Bonjour...Que fais-tu toute seule??

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