Le Journal Intime De Lily Evans-

Bon ici je vais mettre une fanfic que j'ai trouver. L'auteure de cette fic m'en a donner la permission et adri aussi. DAns cette fic, il raconte le journal intime de Lily evans en sixième année à Poudlard.(lorsqu'elle commence à ressentir des sentiment pour James)VOILÀ!!

Dans cette fic, Lily Evans nous raconte par l’intermédiaire de son journal, sa 6° année à Poudlard.


Lundi 3 Septembre

Je viens juste d'entrer à Poudlard et j'en ai déjà marre. Comme chaque année. Pourquoi? Tout simplement parce que Potter persiste encore et toujours à être en vie. On entre en 6eme année et il est toujours aussi gamin et futile. Non pas que cela ne me plaise pas qu'il me court après, mais il pourrait le faire d'une autre manière. Parfois, il est tellement frimeur, arrogant et sûr de lui que je le gifle pour lui remettre les idées en place (pas parfois à vrai dire. Plus souvent qu'on ne le pense). Bref, je suis dans le train et les maraudeurs viennent de quitter le compartiment. J'ai une fois de plus remballer James qui était venu me souhaiter un bon début d'année en essayant de m'embrasser (il y a presque réussi!!)Il m'énerve avec ses manières. Je préfère nettement Remus, qui est tout gentil.
Oh Oh...je crois qu'il reviennent!!!!

Le même jour, 20 minutes plus tard

J'en été sûre. C'était bien eux. Les maraudeurs, je veux dire. Ils sont d'un culot!!! James est revenu avec sa clique et voilà comment ça s'est passé:
-Allez Evans, avoue que tu regrettes d'avoir refusé mon baiser, je te donne une deuxième chance si tu veux.
-Je n'ai aucun aveu à faire, et je n'ai pas besoin que tu me donne une deuxième chance Potter!
-Tu es raide dingue de moi, tu le sais, alors avoue.
Ma copine pouffait derrière son magazine tandis que Remus et Peter faisaient de même. Sirius lui, faisait de l'œil à mon amie. Pas étonnant, il est du même moule que James.
-Dégage Potter!
-C'est bizarre, mais tu ne dis pas dégage à Servilus, me trompe-je?
Je crois que je suis devenue livide à ce moment là car James m'a demandé d'un petit ton innocent:
-Ca va Evans?
-Non mais ça va pas la tête!! IL ME FAIT ENCORE PLUS VOMIR QUE TOI!!!!!!!
d 'ailleurs, j'en avais la nausée. Et à ce moment là, devant tous ses copains, il à fait (tenez vous bien, devant tous ses copains) :
-Et ça, cela te fait vomir?
Il m'a pris dans ses bras et m'a embrassé. Un vrai baiser avec la langue. Je sais que ça peut paraître dégoûtant mais en fait c'était génial. Mais tout le monde était figé sous l'effet de la surprise. Moi, me laissant embrassée par James???? Pour ne rien faire paraître, je l'ai brusquement repoussé et je l'ai giflé. Et il est parti. J'ai tout gâché. Je suis nulle. Snif.

Le même jour, à minuit

Oui, vous savez bien lire, il est minuit. Je ne dors pas car:

1)je suis encore sous le choc du baiser de James
2)Il y a plein de bruit dans le dortoir des garçons
3)Le professeur Dippet a tenu un discours pas rassurant du tout sur les forces du mal qui commençaient à se manifester de façon étrange
En effet, ces derniers temps des phénomènes étranges avaient fait surface, comme des toilettes régurgitantes, ou des moldus paralysés en pleine rue.
Oh! Quel boucan!! Je vais aller voir ce qui se passe.



Et j'en metterai d'autre à la suite( les autres sont les suites!!)

voilà la suite puisque personne répond

Même jour, 1heure du matin

Quand je suis arrivée au dortoir des garçons (de 6° année évidemment) pour voir ce qui ce passait, ce n’est pas sur un dortoir que je suis tombée, mais sur un champ de bataille. Je le jure. Les garçons (on se demande lesquels) avaient organisé une bataille d’oreillers. Je me suis appuyée contre la porte en croisant les bras sur ma poitrine et en sifflotant. Normalement, ils n’auraient pas du me remarquer, hystériques comme ils étaient, mais il y en à un qui m’a remarquée. Eh oui, vous avez bien deviné, il s’agit évidemment de Mr Potter. Il était en plein combat avec Sirius, et lorsqu’il m’a entendue siffloter, il a relever la tête, m’a vue et m’a dit :
-Evans ? Qu’est ce que tu fais là ?
Son inattention lui à valut un oreiller en pleine poire en provenance de son meilleur ami.
-Rien, ai-je répondu. Je suis juste venue voir d’où provenait le vacarme qu’i m’empêchait de dormir.
-Désolé, Belle au Bois Dormant, avait répondu Sirius, mais il faut bien s’amuser un peu non ?
Je l’ai foudroyé du regard et il a esquissé un sourire.
-Quoiqu’il en soit, arrêtez tout de suite.
-Non, avait répondu James.
-Potter, arrête de faire le cake un peu !
-Non, on ne va pas arrêter Evans. On va plutôt t’inviter à te joindre à nous.
-QUOI ? ? ? ?
Sans me répondre, il s’avança vers moi, me porta comme une mariée(ça à pas du être facile car je me débattais) et il a traversé le dortoir pour finalement me poser sur un lit (qui devait sûrement être le sien) et il a crié : Tous sur Evans ! !
J’ai eu franchement peur. C’est vrai quoi, quand vous êtes la seule fille dans une pièce remplie de garçons et que l’un d’entre eux crie tous sur elle, il y a de quoi s’imaginer des trucs horribles non ? Enfin bref, j’ai été bombardée par plein d’oreillers à la fois, et la seule chose que j’ai trouvé à faire, c’était entrer dans leur jeu. Mais au bout d’un moment j’ai dit :
-Ca suffit ! !Je ne suis pas venue ici pour jouer comme une gamine ! !Je veux dormir ! ! ! ! !Et tranquillement ! ! !
-D’accord, à dit James, tiens, mon lit est disponible.
Il se foutait vraiment de ma gueule. Alors j’ai décidé de me foutre de la sienne. Je me suis avancée vers lui, le foudroyant du regard. Il a mis sa main devant lui, s’apprêtant à recevoir une baffe. Mais il ne l’a pas reçue. Car au lieu de le baffer, je l’ai embrassé. J’arrive pas à croire que j’ai fait une chose pareille. Lorsque je me suis retirée, James avait la bouche grande ouverte, tellement il était surpris. J’ai alors dit :
-Ca suffit.
Je suis partie, et bizarrement, cinq minutes plus tard, le silence régnait. Mais qu’est-ce que vont penser les autres ? ? ? ? ? ? ? ? ? ?Je suis fichue.


Mardi 4 Septembre, en cours de métamorphose

J’en été sûre ! ! !Je suis fichue. D’accord, ce n’est pas si dramatique que cela car au moins, toute l’école n’est pas au courant, mais James me colle aux basques maintenant. Non que cela me déplaise. Mais quand même. Après tout, ce n’est qu’un gamin futile qui se passe la main dans les cheveux pour avoir l’air décoiffé et qui a les chevilles qui enflent à chaque minute de la journée. Il n’arrête pas de me regarder et de me faire des clins d’œil. J’en ai marre. J’ai l’impression d’être espionnée. Je suis espionnée. Par Potter.
Oh, la cloche sonne.

J'adore !!!
Vite la Suite !!!!!

d'accord la voilà!!


1 heure plus tard

J’y crois pas, j’y crois pas, j’y crois pas, j’y crois pas, j’y crois pas. En sortant du cours, on avait une pause. Potter est venu me voir SEUL et il m’a dit :
-Lily, je peux te parler s’il te plaît ?
Moi : ……euh……(quelle réponse intelligente)
Ce qui était vraiment bizarre, c’est le fait qu’il était venu seul et qu’il m’avait appelée par mon prénom.
-D’accord, ai-je répondu.
-Viens avec moi.
Il m’a emmenée dans le parc, sûrement pour être plus tranquille, et il a commencé à me parler .
-Tu sais Lily, j’ai beaucoup pensé à ce que tu as fait hier soir…
-Ah oui ? (j’étais pas très rassurée, faut me comprendre)
-Oui. Et…je me suis dit qu’il fallait que je te dise un truc important.
Allait-il me dire qu’il allait cesser de me harceler et de me foutre la honte ? Non. Pire que ça.
-Ecoute, je sais que je suis odieux, grossier, arrogant, vantard….
-A qui le dis tu !
-C’est déjà assez difficile de reconnaître mes défauts alors tais toi Evans (Ah ! Il recommence a m’appeler par mon nom !). Je sais que j’ai des défauts, mais j’ai aussi des qualités, enfin, je pense. Et je voulais te dire que je t’aime.
-…..
-Evans ?
Et moi, tout ce que j’ai trouvé à faire, c’est m’enfuir en courant et en pleurant. A mon avis, James n’a rien compris à ce qu’il se passait. On est en cours d’Histoire de la magie et il me regarde tristement. S’il savait…S’il savait à quel point j’ai envie qu’il me prenne dans ses bras, qu’il m’embrasse à chaque minute de la journée. J’avoue, j’ai un gros faible pour Potter. J’en suis même amoureuse. Mais mon cœur est brisé car ce n’est qu’un coureur de jupons aux chevilles énormes.
Une minute, s’il m’a dit qu’il m’aimait, alors ce n’est pas un coureur de jupons ! ! !Mais il a toujours deux chevilles énormes.
Je ne sais plus quoi faire ni penser. J’ai le moral au plus bas.
Qu’est ce qu’il se passe ? James se lève ! ! !Oh non, pas une nouvelle humiliation, par pitié ! ! ! ! ! ! ! ! ! !


Même jour, à 18h30, dans la salle commune

James est vraiment débile. Il a demandé au professeur Binns (qui gobe tout les mensonges qu’on lui raconte) s’il pouvait aller à l’infirmerie. Et il a demandé à être accompagné de peur de s’évanouir en chemin. Et devinez qui il a choisi pour être accompagné ? Moi !Evidemment. Je hais le professeur Binns. Lorsqu’on était dans le couloir, il m’a dit :
-Pourquoi tu es partie en pleurant ?
Que peut-on répondre à ça ? ? ?
Douée comme je suis, j’ai répondu :
-Je ne sais pas.
J’ai détourné la tête, prête à pleurer encore une fois à cause de ce garçon qui me faisait perdre la tête. Il m’a pris le menton, m’a amenée face à lui, s’est avancé doucement et m’a embrassée. C’était un baiser d’une immense chaleur, doux et sincère. C’était tellement beau que j’ai cru que c’était l’Apocalypse. Il a ensuite prolongé notre baiser en mettant ses mains sur mes hanches et en me serrant contre lui. Mais au bout d’un moment, il a été trop loin. Il m’embrassait tranquillement, et il a commencer à déplacer ses mains sur mes fesses ! ! ! ! Non mais quel culot. Je l’ai immédiatement repoussé et je lui ai dit :
-James, tu es fou ? ! ? !
-Quoi ? ! ?
-On ne sort même pas ensemble !
-Ca ne te dérangeais pas ces dix dernières minutes (il à pas tort)
-Oui, mais je n’admets pas que tu me tripotes ! !Pourquoi tu fais ça à chaque fois ?
-Ca quoi ?
-Pourquoi, dès que quelque chose se passe bien, tu gâches tout ? !
J’avais les larmes aux yeux mais ma fierté me disait de les retenir. Et ce crétin restait là, bouche bée. Je suis retournée en classe, en me retenant de pleurer.
-Alors Miss Evans, comment va Mr Potter ? a demandé le professeur Binns.
-Il a le cerveau gravement endommagé ! ai-je dit, furieuse.
Tout le monde éclata de rire, sauf Binns. Black, Lupin et Pettigrow pouffaient et murmuraient. Je hais les maraudeurs.

Mercredi 5 septembre, l'après midi

James ne m'a pas adressé la parole depuis hier. A mon avis, il n'a pas compris pourquoi tout le monde le regardait lorsqu'il est " revenu de l'infirmerie". Maintenant, il doit le savoir, les maraudeurs lui ont sûrement tout raconté.

Jeudi 6 septembre,
après le déjeuner, en cours de divination.

Je peux officiellement dire que ce n'est pas la peine d'espérer le duo Potter/Evans. Car j'ai remballé Potter, et j'en suis fière! Il est venue me voir à l'heure du déjeuner et m'a dit:

-Evans, je peux te parler?
-NON.
-Mais...
-Laisse tomber Potter, tu n'es qu'un idiot dont le cerveau est remplie de tout sauf de la modestie, alors oublie maintenant.

Il est ensuite parti, et apparemment, notre petite guerre à recommencé (ben oui, faut pas perdre les bonnes habitudes). Mais pour l'instant, il n'y a pas l'ombre d'un coup foireux de la part de Potter.

Après le dîner, 20 heures

OH MON DIEU!!!!
L'école réorganise, comme chaque année, le tournoi des trois sorciers.
Ce qui signifie que cela va être la fête!!!
Et bien entendu, Potter va se présenter. Et tous ses maraudeurs avec je suppose. Sauf peut-être Lupin, lui, il sait être raisonnable.
La coupe de feu est dans le hall de Poudlard, et les élèves de Durmstrang et de BeauxBâtons se sont intégrés dans les maisons de Poudlard. Nous avons récolté deux pestes françaises et leur haute couture, deux garçons douteux de Durmstrang, et une jeune française plutôt discrète qui à l'air d'avoir peur de tout ce qui bouge. James est bien sur en train de draguer les groupies de l'école française. Ce qui m'étonne le plus, c'est que Sirius ne le fait pas. Il reste dans son coin avec un air rêveur.
En tout cas, Potter n'ira pas plus loin dans son show de drague, car je compte bien mettre de l'huile sur le feu....

22h30

:Je hais Potter. Je le déteste. Il ne m'a pas ridiculisée, non, mais il a eu le dernier mot. Je déteste quand ce sale gosse de riche à le dernier mot. voilà comment ça s'est passé:

-Oui, je suis attrapeur, j'ai même eu une récompense pour cela, dit James, adossé au mur, avec un sourire charmeur.
-Woah! dit l'une des deux filles, c'est génial!!
-Ouais!! renchérit l'autre.
-Ouais, mais bon, je reste quand même modeste.
-Tu parles! ai-je dit.
-Evans?!?
-Bonjour je m'appelle Lily Evans, je suis préfète et je viens vous signaler que tout ce que dit cette chose parlante n'est que pur mensonge.
-Moi, je m'appelle Vanessa de Richemont, et elle, c'est Mélanie de Sarimonois.
-Enchantée.
-Bon voilà, les présentations sont faites, maintenant, retourne à tes occupations Evans!
-Mais laisse moi discuter avec nos chères invitées!

Les deux "idiotes" affichèrent un grand sourire.

-Alors, vous vous connaissez depuis longtemps? dit Mélanie.
-Trop longtemps, dit-je.
-Vous n'avez pas l'air de vous apprécier, dit Vanessa.
-Vous pouvez pas vous imaginer à quel point, dit James, apparemment irrité que je fasse connaissance avec ses deux nouvelles copines.
-Excuse moi, dit-je, mais qui m'a tiré les cheveux dès la première année?
-Et qui à ensuite mis de la bave de crapaud dans ma soupe?
-Qui à raconté à tout le monde que j'étais amoureuse du prof de divination?
-AH, ça tu ne peux pas le nier Evans!
-Oh, je t'en prie, tu as juste remplacé ton nom par le mien lorsque tu as fait courir cette rumeur!

James fit les yeux ronds, puis commença à sortir de ses gonds:

-Ah, tu veux jouer à ça! Qui à fait croire que je dormais encore avec ma peluche en deuxième année, alors que c'est la personne dite qui le faisait? Et qui à dit que j'avais embrassé la statue de la sorcière borgne?
-Ca par contre, c'était la vérité, répliquai-je, outrée.
-Oui, mais personne n'aurait du le savoir, et pour ma défense, c'était un pari!
- Et pour ma défense, cette peluche m'avait été offerte par mes parents!!

James commença à rire nerveusement.

-Et qui m'a fait au moins vingt blagues FOIREUSES PAR ANS? QUI M'A DRAGUE A CHAQUE OCCASSION? QUI M'A MIT LA MAIN AUX FESSES?
-Ne dis pas que tu y es pour rien!!
-SI, JE N'Y SUIS POUR RIEN ESPECE DE PORC!!!
-ET QUI CHIALE POUR UN RIEN?

Il avait frappé dans le mille. Je savais qu'il faisait allusion à la fois où il m'avait dit qu'il m'aimait, et il savait très bien que je ne voulais pas que cela se sache. Les deux filles avaient suivit notre discussion comme un match de tennis. D'ailleurs, toute la salle commune l'avait fait. Je lui ai lancé un regard noir, puis je suis montée au dortoir en souhaitant une bonne nuit aux jeunes françaises. A mon avis, elles n'ont pas du comprendre la majeure partie de mon altercation avec James, car elles ont continuer à papoter avec lui.
Il me tue ce mec!!! Je le déteste!!!


suite plus tard après avoir recu un autre commentaire!

COOL!! J'adore aller la suite ...please!!! On s'y croirait vraiment..

C'est géant !!! Où tu trouves toutes ses idées ??

voilà!!

Samedi 7 septembre
8h00 du matin

Je sais, on est le week-end, mais ce n’est pas ma faute si je me suis réveillée si tôt. Enfin, si, un petit peu…
A vrai dire, je ne fais que penser à James. Il me hante. Avec toutes les méchancetés qu’on s’est balancées à la figure jeudi, il devrait m’en vouloir, et je devrais déjà être en train de foncer sur lui, folle de rage à cause d’un coup foireux qu’il m’aurait fait. Mais rien. Pas l’ombre d’une dispute ni d’une blague de mauvais goût. Non, rien. Et je dois bien l’avouer, cela me manque. C’est vrai quoi, qu’est ce que je vais faire à la place d’enguirlander James, de lui préparer une vengeance ? Je m’ennuie maintenant. Je dois bien avouer que je me suis habituée aux disputes très rythmées entre James et moi (normal, depuis 5 ans et presque 6 !). Mais comment peut-il oser interrompre notre guerre pendant plus de deux jours ? ! ? ! ? Il exagère ! ! Il n’a même pas présenté la trêve officiellement sous forme de traité de paix ! !
Oula ! ! Je crois que je me prends un petit peu trop au sérieux. C’est le rôle de préfète en chef qui influence beaucoup (la bonne excuse !). Môssieur est sûrement trop occupé à frimer parce qu’il à déposer son nom dans la coupe de Feu. Je le déteste ! ! Pourquoi faut-il qu’il soit comme ça avec moi ! !JE TE HAIS JAMES ! ! JE TE HAIS ! JE TE HAIS ET JE TE HAIS ! ! !
Quelqu’un arrive ! ! Qui ça peut être ?


Eh bien c’est moi Evans. Oui c’est moi. Je ne suis pas venu pour te faire un coup foireux, même si cela te manque, ni pour déposer un traité de paix. Mais juste pour te murmurer à l’oreille que je t’aime, comme je le fais chaque samedi matin lorsque tu es endormie. Mais comme apparemment tu es éveillée, j’ai pris ton journal pour te l’écrire au lieu de te le murmurer : JE T’AIME.
Mais comme apparemment, tu me détestes, ce n’est pas la peine. Mais au moins je l’ai dit, et je ne le regrette pas. Moi aussi j’ai confié mon secret à ton journal, et j’espère qu’il le gardera bien.

JAMES POTTER
9h00

Je n’y crois pas ! !Je n’ose même pas y croire ! ! Il à écrit dans mon journal ! ! ! !C’est d’un culot ! !Mais le mot est tellement mignon... Les bruits de pas que j’entendais, c’était James. Sauf que je ne le voyais pas. Il était… comment dire… invisible. Je ne sais pas comment il a fait. Peut-être le sortilège de désillusion, mais je l’aurais remarqué à cause des bruits de pas. Ou peut-être une cape d’invisibilité, mais c’est très rare. Quoiqu’il en soit, j’ai vu mon journal flotter dans les airs puis disparaître complètement . Abasourdie, assise dans mon lit, je me suis levée puis je me suis dirigée vers le dortoir des maraudeurs, me doutant que James y était pour quelque chose. J’ai entrouvert la porte tout doucement, et j’ai observé. Les trois autres dormaient encore, mais James était assis sur son lit et écrivait DANS MON JOURNAL ! ! ! Au bout d’un moment, il le ferma, et je décidai de jouer la comédie pour ne pas laisser croire que je l’avait espionné (ce que j’ai fait). Je suis donc entrée dans le dortoir en trombe, et j’ai hurlé :

-JAMES ! ! !OU EST MON JOURNAL ? ! ?

Il glissa rapidement l’objet en question sous sa couette et me dit :

-Ton journal ? ? Parce que tu tiens un journal ? ?Toi ? ?
-OUI ! répondait-je agacée. Bon, rends le moi, s’il te plaît.
-Pourquoi l’aurait-je ? Et pourquoi tiens tu tant à le récupérer ? Y aurait-il des choses compromettantes dedans ? dit James en plissant les yeux et en arborant un sourire narquois.
-Primo, parce que tu es le seul à pouvoir faire un truc de ce genre, deusio parce que… parce que…
-Parce que ?
-Peut importe, rends le moi !

Je commençai à sérieusement m’impatienter.

-Mais qui te dis que c’est moi qui l’ai ?

J’étais coincée. Je ne pouvais pas lui dire que je l’avais vu écrire, cela aurait été me dénoncer moi même, et si je ne le disais pas, je n’avais aucune preuve. Alors, dans tout mon génie, j’ai dit :

-Parce que tu es le seul qui soit aussi timbré pour faire un truc de ce genre !
-C’EST PAS BIENTÔT FINI VOTRE PUTAIN DE DISCUSSION A LA CON ? TOUT CA POUR UN BOUQUIN ! ! NON MAIS JE RÊVE ! ! !

Sirius avait crié en passant la tête à travers les rideaux de son lit. Apparemment, nous l’avions réveillé.

-Je ne sais pas si je l’ai… dit James d’un air innocent. Tu sais, j’ai un tas d’autres objets beaucoup plus précieux que ce journal dont tu parles. Dis moi tout d’abord pourquoi il est si important pour toi.

Je commençai à m’énerver et à taper du pied à un rythme très rapide.

-D’accord. J’y ai noté des choses personnelles et, même si ce journal n’est pas très important, j’aimerais quand même le récupérer.

James extirpa mon manuscrit de sous sa couverture et dit :

-OH ! Tu as vu, je l’ai trouvé !
-JE LE SAVAIS ! m’écriai-je. RENDS LE MOI MAINTENANT !
-VOS GUEULES ! s’écria Sirius.

James commença à feuilleter les pages à l’envers, à ma plus grande horreur. Puis il dit :

-Ecoutez ça les gars ! C’est vachement intéressant !

Les trois maraudeurs passèrent la tête à travers les rideaux (je parie qu’ils écoutaient tout et faisaient semblant de dormir, sauf peut-être Sirius) et James commença à lire :

- James et Sirius se sont présentés à la coupe de feu. Ils se sont avancés dignement, même s’ils ne sont que de vulgaires cloportes.
- QUOI ? ! s’écria Sirius. Elle à vraiment écrit ça ?
- CA SUFFIT ! me suis-je exclamée, RENDS LE MOI !

Je me suis penchée pour essayer de récupérer mon journal, mais James à commencé à courir dans toute la pièce et à dit :

-Eh attends Patmol ! Elle à écrit un tas d’autres trucs ! Je cherche…
Il feuilleta le bouquin, et commença à lire, tout en courant à travers le dortoir, en sautant sur les lits, m’ayant à ses trousses.

-AH ! !s’exclama-t-il, j’ai trouvé ! Le jeudi 6 septembre, après le déjeuner, en cours de divination ! Tiens, tu ne reportes plus ton attention sur le prof Evans ? Et quelles précisions !
-RENDS MOI CA ! !
-AIE ! JAMES !
-Pardon Lunard !

James avait trébuché sur la jambe de Remus en sautant sur son lit.

-Bon, je reprends ma lecture :
Je peux officiellement dire que ce n’est même pas la peine d’imaginer le duo…

James s’arrêta de lire. Je savais ce que j’avais marqué, et il n’allait sûrement pas le lire devant ses amis. Cela aurait été trop ridicule pour lui.

-Quel duo ? ? demandèrent en chœur les trois amis de Potter.
-Euh… rien d’important, fit le concerné.
-AH NON ! fit Sirius. VOUS NOUS AVEZ REVEILLE AVEC VOS IDIOTIES, ALORS AUTANT ALLER JUSQU’AU BOUT !CONTINUE JAMES !
-NON ! fit celui-ci.

Sirius fonça sur James, lui prit le bouquin des mains, et commença à lire silencieusement.
Lorsqu’il eut finit de lire le paragraphe qui se rapportait au 6 septembre, il explosa de rire et se laissa tomber sur son lit. J’en ai profité et j’ai récupéré mon journal, avant que l’un d’eux ne se remette à fouiller dans ma vie.

-Tu…AHAHAHAH ! !Tu… tu t’es …..

Sirius n’arrivait même pas à parler, ni à respirer, tellement il était plié en deux.

-TA GUEULE !hurla James. TAIS TOI, ESPECE D’IMBECILE ! !

Je suis donc partie en vitesse pour retourner au dortoir, à l’abri des garçons. Mais quelque chose me chiffonne : Comment James à t il fait pour monter jusqu’ici ? Normalement, le sortilège des escaliers aurait du faire barrière ! Il est fort… très fort…

C'est tro !!!! Dépèches toi decrire la suite stp !!!

j'adore , super bien ..... Je crois que je me repete ?
Allez Lili j'éxige la suite...Allez soit sympa..

vous l'Avez attendue...Vous l'avez exiger... la voilà!!!!!!!!!

Dimanche après-midi,
15h00

Apparemment, Potter et Black ne se sont pas disputés longtemps. Ils sont ensembles, comme d’habitude. Mais un truc à changé :
James ne m’embête plus et notre guerre incessante à cessé. Je n’ose plus lui adresser la parole. Pas après ce qu’il c’est passé dans le dortoir et après ce qu’il à marqué dans mon journal.


Mais comme apparemment, tu me détestes, ce n’est pas la peine. Mais au moins je l’ai dit, et je ne le regrette pas. Moi aussi j’ai confié mon secret à ton journal, et j’espère qu’il le gardera bien.

Si on réfléchit bien, c’est comme un abandon, un adieu. Seulement, il à tenu à clôturer la guerre en beauté ce matin (d’après ce qu’il m’a dit). Il est venu me voir, m’a emmenée dans le parc, s’est mis face à moi, à croisé les bras et voilà comment cela s’est passé :

-Ne recommence plus jamais Evans !
-Quoi ?
-Ne m’humilie plus jamais devant mes amis !
-Mais je..
-Ne parle plus jamais de moi comme tu l’as fait !
-Mais..
-Je reste dans mon coin…
-Tu ne..
-Et tu restes dans le tien !
-Laisse moi…
-Tu as compris ! ? !

Il ne m’a pas laissé placé un mot ! Vous vous rendez compte ? C’était comme avoir un entretien avec Mc Gonagall. On mange des biscuits au gingembre qui nous empêche de parler, et elle vous balance tout.
Il allait partir, mais je lui ai attrapé le bras et je lui ai dit méchamment :

-T’es tout de même gonflé ! C’est toi qui à commencé à lire mon journal ! Sirius n’a fait que suivre ta connerie (comme d’habitude) ! ! !

James ouvrit la bouche et la referma, ne trouvant rien à répondre. Il se renfrogna, un silence s’installa. Au bout d’un moment, il sortit un vif d’or et commença à jouer avec.

-Oh je t’en prie Potter, tu sais très bien que cela ne m’impressionne pas !

Il leva un sourcil et dit :

-Ce matin tu m’appelais James.
-Et alors ?
-Et rien du tout.
-Bon range ce vif d’or s’il te plaît.
-Qu’est ce qui t’impressionne alors ?
-Je…je…je…

Je n’en avais aucune idée.

-GRRR ! ! Tu m’énerves Potter !

Je suis partie pour retourner au dortoir. Lorsque je suis arrivée, j’étais tellement énervée que je shootais dans tout ce que je trouvais en récitant à haute voix notre conversation avec colère.

-« agnagnagnignagnagna -quoi ?- agnagnagnignagnagna –Mais je- agnagnagnignagnagna –mais- agnagnagnignagnagna -Tu ne- agnagnagnignagnagna- laisse moi- agnagnagnignagnagna. IL NE M’A PAS LAISSE PLACER UNE PHRASE ! !hurlai-je en balançant un oreiller contre une commode.

-Qui ?

Je me retournais, stupéfaite. Nadine avait tout entendu, sans aucun doute.

-euh…euh… euh…euh…
-Qui ? répéta Nadine.
-Remus ! m’exclamai-je, triomphante.
-Remus ?
-Oui, pour le bal de Noël. Il veut tout faire à sa manière.

La discussion fut close, mais bon. Cela ne me rassure pas.


Qui veut la suite??

Moi moi moi !!!!!!

Moi je veux la suite!Finalement tu aurais quand même du la mettre en entier

Non, franchement, c'est génial!

Pas mal longue mais je voulais pas la gachée...ben plutot j'avais hate de mettre la suite alors voilà!



Lundi 9 septembre,
18h30

Je suis mal barrée ! ! ! ! ! ! ! ! !
Nadine est venue me voir à la fin de la journée et à dit :

-Remus n’a pas le droit de prendre toutes les décisions !

Sans que j’ai le temps de réagir, elle m’a pris, m’a mise face à lui dans la salle commune et à dit sur un ton sévère et sérieux :

-Ecoute Lupin, tu vas écouter toutes les suggestions que Lily à a te faire pour le bal, et tu vas les prendre en considération !

Lupin écarquilla les yeux pendant que Nadine s’en allait.

-Le bal ? ! Mais le tournoi n’a même pas commencé !
-Laisse tomber, elle…elle a pété les plombs ! Elle ne sait plus ce qu’elle dit !

J’allais partir, quand il m’a dit :

-Au fait Lily, c’est quel duo ?

Je me suis arrêter brusquement et j’ai dit :

-Cela ne te regarde pas. Et puis, qu’est ce que cela peut te faire ?
-Rien , dit Remus. J’aurais juste voulut savoir qui était l’élu du cœur de Mlle Evans, la fille qui refuse toutes les demandes de tous les garçons.

Je suis partie sans rien dire, ne trouvant rien à répondre.

Mardi 10 Septembre
18h00

Je le savais ! ! ! Je savais bien que James et moi nous ne pouvions pas cesser de nous disputer ! ! Sauf que cette fois, Rogue était dans le coup. Comme à chaque fois, Black à chercher à s’amuser avec Rogue, et comme à chaque fois, je m’en suis mêlée (ma bonté me perdra).
Voici la scène :

-Eh Servilus ! Tu t’es renversé une de tes potions dans les cheveux ?
-La ferme Black !
-Tu sais aligner trois mots sans te tromper ! Bravo Servilus ! !
-Je t’ai dit de te taire !
-Par contre, il ne sais pas varier son vocabulaire, dit James.
-Que veux tu, c’est Servilus ! dit Sirius.
-Bande de…

On ne sut jamais de quoi il traitait les maraudeurs car sa bouche avait beau former les mots, aucun son ne sortait de celle-ci.

-On fait moins le fier le bec cloué, n’est ce pas ? dit Sirius.
-VOUS N’AVEZ PAS FINI ?
-Tiens tiens tiens…fit James
-Laissez le tranquille bon sang ! Il ne vous a rien fait à ce que je sache !
-Si, il existe ! dit James
-Très drôle Potter ! Annule le sort !
-Pourquoi ferais-je ça ?
-Parce que sinon, c’est toi qui va regretter d’exister !
-Ah bon, et que va tu faire ?
-Libère le.
-Que vas –tu faire ?
-Tu l’auras voulu !
-Evans…
-Accio balai James Potter !

Le beau balai de Potter arriva droit sur moi. Je le prit entre mes mains d’une main ferme. Il allait payer. Il allait regretter d’avoir lu mon journal.
A l’aide de ma baguette magique, je fit voler le balai jusqu’au sol cogneur.
J’ai ensuite regardé James avec un air satisfait en disant :

-Ca fera un peu de compagnie à ce vieil arbre !

Plusieurs élèves sifflèrent, étonnés, et cette attitude encourageait une dispute rythmée. James avait la bouche grande ouverte. J’avais osé touché à SON balai.

-Evans, tu vas le regretter ! dit-il rageusement.
-Tu n’avais qu’a lever le sort ! ai-je dit.

Il leva le sort négligemment, me lançant des éclairs avec ses yeux chocolat.

-Je n’avais pas besoin de ton aide , Sang de Bourbe !

James ne se retourna même pas pour me défendre. C’était bien la première fois. Je reculais tandis que lui avançais. J’avais vraiment peur. C’était la première fois qu’il me regardait avec une telle haine. Son balai, c’était tout pour lui. J’aurais voulu m’enfuir en courant mais je me refusais à le faire. J’étais une Gryffondor, pas une lâche.
-Qu’est ce qu’il y a Potter ? Aurai-je touché un point faible ?
-Tu n’avais pas à le faire !
-Et toi, avais tu à lire mon journal ?
-Je me disais aussi ! Rogue ne valait pas un balai ! C’est donc ton journal que tu as en travers de la gorge ? !
-Et toi c’est ta stupide vanité que tu as en travers de la gorge ! Tu es là à te pavaner avec ton stupide vif d’or, à faire le malin devant tout ce qui bouge.
James enrageait.
-Mais il y a au moins une chose avec laquelle tu ne pourras plus faire le malin : ton stupide balai.

Je suis ensuite retournée à la salle commune, le clouant sur place. Il m’a vraiment fait peur. Mais j’ai détruit son balai ! ! ! ! ! ! ! ! ! !C’est bien fait pour lui.


Mercredi 11 Septembre
14h00

Je regrette. Je regrette d’avoir cassé le balai de James. Je me rends compte que c’était tout de même méchant. Et puis je dois tout le temps m’attendre à un sale coup de Potter maintenant. Franchement je regrette. Je vais aller m’excuser. Même si ma fierté en prendra un coup, tant pis.


Même jour, 16h00

Je n’arrive pas à y croire ! ! ! ! Comme quoi, la fierté, quand on la remballe, ça fait un bien fou ! ! ! ! J’ai été voir James , il se trouvait dans la salle commune avec ses amis.
-James, je peux te parler s’il te plaît ?
-Va-y je t’écoute, dit-il avec un air renfrogné.
-On peut aller dehors s’il te plaît ?
-Pourquoi ? C’est moi que tu veux mettre sur le saule cogneur ce coup ci ?
Je le regardais en levant les yeux au ciel. Il à finalement accepté de me suivre dans le parc. Lorsqu’on était dehors, il m’a dit :
-Bon, fait court s’il te plaît.
-Ecoute, je voulais m’excuser.
-T’excuser ?Toi ? !
-Oui.

A ce moment là, j’ai senti mes joues s’embraser.

-C’était vraiment nul de ma part de bousiller ton balai.
-Lily…
-Quoi ? dis-je en relevant la tête.
-Que t’ai bousillé mon balai, ça fait rien. Ce qui m’a fait mal, c’est que j’ai eu l’impression que tu l’as fait avec plaisir.
-C’était comme une vengeance. Tu comprends, t’avais lu mon journal alors je t’en voulais énormément.
-T’y tiens vraiment à ton journal.
-Oui. J’aime beaucoup ce qui y est inscrit.

James me regarda d’un air complice et étonné à la fois. J’étais sur le point de tout lui avouer. De lui dire que je l’aimais, même s’il n’était qu’un prétentieux.

-Comment cela ? demanda-t-il.
-Eh bien… c’est très gentil ce que tu as marqué dedans, dis je en tripotant nerveusement mes doigts.

James avait pris une teinte rouge pivoine à ce moment là. Apparemment, il n’était pas aussi à l’aise avec les filles, contrairement à ce que prétendait sa réputation de play-boy.

-Ah, ça.Lily, tu sais, j’aurais jamais dû lire ton journal devant mes amis. Moi aussi je m’excuse.
-Excuses acceptées, dis je en souriant.
-Dit Lily…
-Quoi ?
-C’est vrai que ce n’est même pas la peine d’espérer le duo Potter/Evans ?
-Hum…je sais pas.
-Ca m’a beaucoup vexé ce que tu as écrit !
-Oh ! Ton ego en à pris un coup ?
-Ne recommence pas !
On a tous les deux éclaté de rire.
-Sérieusement, Lily.
-Je ne sais pas. A chaque fois que quelque chose se passe bien, tu gâches tout.
-JE gâches tout ?
-Oui monsieur !
-D’accord, je te parle, mais je ne te touche plus ! Dit-il en levant les mains en l’air.
-James…
-YES ! Dit il en sautant sur place comme un rocker.
-Quoi ?
-Tu m’appelles enfin par mon prénom ! C’est une nette progression ! !
Je souris à cette réflexion. Il était vraiment un grand gamin.
-Pardon, tu disais ? Dit-il en redevenant sérieux.
-Ecoute, tu ne crois pas que cela ferait bizarre qu’on sorte ensemble ? On s’est tellement chamaillé, raillés, tu crois pas que cela ferait bizarre pour les autres comme pour nous ?
-Les autres ils n’ont rien à dire. Et puis, qui te dit que cela te fera bizarre, on est même pas encore sortis ensemble.
Un grand silence s’installa, jusqu’au moment où James dit :
-Attends un peu… serais tu en train de me dire que tu envisage la possibilité qu’on sorte ensemble ?
-Euh…c’est à peu près ça.
-Sans blague ?
-Je suis même en train de me demander si je ne vais pas le regretter.
-Attends, si j’ai une chance, faut que je la saisisse !

Il mit un genou à terre, et commença à dire :
-Lily Evans, veux tu être ma petite amie ?
Il était tellement comique avec ses yeux plein d’espoir et son air de gamin que je n’ai pas pu m’empêcher d’exploser de rire.
-Eh c’est sérieux ! S’exclama-t-il, vexé.
-Hum…d’accord, dits je en arborant un grand sourire.

Il s’est relevé, m’a prise dans ses bras et à dit :
-Ca va, mes mains sont bien placées ?
J’ai éclaté de rire. On est resté tout l’après-midi ensemble. Quand on est rentré dans la salle commune, on ne se tenait pas la main. Les maraudeurs ont assailli James :
-Où t’étais ?
-Qu’est ce que t’as foutu bon sang ?

Pour toute réponse, il leur à fait un clin d’œil et à levé le pouce. Maintenant, reste à voir comment les autres vont le prendre.

Moi aussi elleest trop bien faite cette fanfic.

Cette fan fic est excellente! on s'y croirait vraiement! vivemvement la suite!

Vous allez être triste de le savoir...mais j'ai perdue le document gardant mes textes.
Alors c'est soit vous attendez 1 semaine ou 2, ou je vous invente une nouvelle suite. Si je l'invente vous l'aurez dans une 10 de minutes!! ^^

Alors répondez vite pour que je commence ^^!!

Aucun problème , si la qualité reste la meme, ça ne me derrange pas , mais si tu bacle un peuje préfère attendre. .