|La famille| [Ouvert]

Sacha arriva en courant dans le dortoir. Ses larmes coulaient à flot. Généralement, les prefets ne se faisaient pas harcelé, ni même agasé, ils étaient plutôt craint en quelque sortes, mais ce que lui avaient dit ce Serpentard l'avait outrageusement blessé. Elle avait resté froide tout le long qu'elle avait été en sa préscence puis avait marché un peu dans tous les sens sans savoir ou allé. Finalement, elle avait décidé de prendre la direction de la salle comune et rentré.. avait courru le long des escaliers menants à sa chambre. Puis dans le coridor d'en haut, elle avait commencé à tomber en sanglot, avant de rejoindre le réconfort de son lit. Elle ne savait pas trop quoi dire et pleurait à chaude larme sans s'arrêter.

Son coeur tounait à vive allure et sa poitrine rebondissait sous ses soubre-sauts sacadés. Le visage dans l'oreiller couché sur le ventre, elle montrait une facette méconnue d'elle-même et semblait ne vouloir empêcher personne de la regarder. Savoir même qu'il y avait une prescence lui était plus réconfortante. Elle passa environ 10 minutes à pleurer sans arrêt puis lorsqu'elle crut enfin son mal passé, elle retomba dedans aussi facilement que un mouchoir dans le vent.

Il ne n'avait pas traité uniquement son père de traître au pur-sang, mais il avait dit qu'elle était un déshoneur pour tout la famille de mon père. Il semblait, étonnament, bien la connaitre. Elle était resté estomaqué puis avait eu l'impression d'être tombé à la renverse et d'avoir mangé une claque au visage. Sa mère lui avait déja raconté qu'elle aurait peut-être la chance de croiser un de ses cousins, mais elle n'aurait jamais pu croire qu'il l'insulterait en public et qui la traiterais comme un putain.

Tête vers l'oreiller.. les yeux rougis, ses pleurs semblaient vouloir continuer pendant des lunes encore. Des pleurs causés par un menbre de sa propre famille....

Maggie était assise sur un des fauteuils de la salle commune...Elle était désemparé, pour des raisons assez critiques...Enfin soit, elle était assise et songé a tous ce qui ce passer en ce moment ... Adri avait était appeller a une réunion extrèmement importante au sujet du monde des sorciers et celui des moldus...Il était donc convoquer pour plus d'une semaine...Et cela énervé a un point qui était a présent a son sommum pour Maggie...Vraiment elle ne savait plus quoi faire, et le pire c'était qu'elle ne l'avait pas apprit par Adri lui meme...Non, par un des prortrai étant dans son bureau...Elle venait lui rendre une petite visite mais il était déja partis...La laissant seule, a ses réflections, pourquoi en ce moment depuis pas mal de temps la fuyer-t-il???
Toute cette histoire défilée dans sa tete quand tout a coup elle fut couper par l'arriver en sanglot de Sacha...Elle partie en courant vers son dortoir...Maggie n'avait pas encore calculé ce qui venait de se passer...Etait-ce véritablement Sacha??? Non c'était impossible, elle qui était toujours souriante et optimiste...
Il fallait tout de meme vérifier, Maggie se leva, tant pis pour ces histoires de coeurs ça serait pour plutard...De toute façon ça ne presser pas vu qu'Adri ne revener que dans une semaine...
Une fois arriver devans la porte du dortoir où se trouver Sacha, elle hésita a entrer sans frapper mais Maggie était sure qu'elle ne désirer voir personne...Seulement la curiosité fut de trop...Elle poussa la porte et entra, là elle vit Sacha allonger sur son lit, entrain de verser toutes les larmes que son corps puissent posséder...Et ben avec ça, elle serait bientot déséché...
Maggie prit alors la parole d'une voix douce:

"Je sais que tu ne désire parler a personne et rester seule...
Mais se confier c'est une bonne chose aussi...
Je ne suis peut etre pas la personne a qui tu voudrais parler mais je suis sure de pouvoir te comprendre...Ou du moins de te...AAAAAAH"

Maggie hurla, Sacha était entrain de s'étouffer dans son oreiller...Surement pas volontairement mais son visage était devenu violet...Elle lui arracha l'oreiller et soupira...Un soupir de soulagement...Au moins Sacha avait retrouver le teint de son visage mais pas sa joie d'antent...

Sacha eut l'impression d'être interpellé, comme dans un rêve. Non seulement elle voyait flou, mais elle perdait son soufle peu à peu. C'est à ce moment là que Maggie intervient. Les yeux de Sacha se révulsèrent puis elle prit un grand soufle, comme un bébé venait de naître. Ses larmes, sèches sur son visages, la rendait rouge et pâle, mais elle ne coulait plus et ses yeux semblaient brûler tellement ils étaients pulsé de sang. Elle semblait figé de peur, de fatigue et de soufle, car bien que présent maintenant, il était sacadé et donnait lui donnait l'impression que ses poumons et son coeur allait lâcher. Sa vue flou commenca à se calmer et elle put prendre prise du regard ce qui l'entourait. Elle en fût réconforter puis elle reste muette devant l'étonnement de Maggie. La directrice de Gryfondor semblait stupéfaite autant qu'étonné. Elle poussa un petit soupir. Certe, ce n'était pas une situation des plus valorisantes mais comme elle s'éveillait lentement à se qui l'entourrait, elle n'avait guère le choix que de faire avec ce qu'elle ressentait; bien que ce flot immuable l'avait noyé quelque temps auparavant.

Lorsqu'elle sentit que le contrôle de ses menbres revenir, elle s'asit sur le lit, le dos courbé et le regard vers le sol, en tapotant le matelas, invitant la Directrice à la rejoindre. Après avoir pleurer, maintenant, elle devrait parler, et ce débarassé de se mal qui l'avait rongé jusqu'au coeur.

Curieusement envahie par un désespoir peut comun, elle s'était laissé envahir par la vague de peine que le Serpentard lui avait causé autant que des souvenirs qui lui restait de son père; et bien que la cicatrice dût à ce deuil avait grandement été testé auparavant, la perte de son père maintenant lui avait offert une autre grande et bien triste peine. Sacha se ferma les yeux, se remémorant le visage de cet personne si aimé et chéri; et si vitement perdu dans le néant et enterré dans un cerceuil de bois. Mais pour elle, il était bien vivant dans son coeur et ne tolèrait pas que son histoire et sa personne en soit insulté. Pas ainsi. Pas comme ca.

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